• Silence ... espace entre les lignes, danse de l'invisible, enveloppe divine

    tu fais lien, coussin d'amour, espace lumière

    puiser dans ton éternel, offre au corps le cocon, vase de naissance d'où jaillit la vie


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  • GaleriesJe suis partie l'espace d'un moment, je suis partie pour ne plus penser et être libre dans la prairie où les coeurs sont rassemblés.

    Souvent je cherche à faire et je me perds dans la solitude qui efface mes actes inutiles.

    Chaque fois que les flops de ma vie me réveillent et me conduisent de détours en détours, J'ai peur de perdre la partie et de rester sur le trottoir à errer dans le vide de ma pensée. 

    Rien n'est plus et tout s'efface, le presque parfait n'a plus le pouvoir et le coeur se purge et vomit l'à peu près.

    Quand devient le sens de la vie, je chavire et ne garde que l'essentiel, l'amour.

     

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  • Le vent souffle, les herbes sous sa force se courbent et s'affolent. GaleriesStimulée, une envie de garder son axe cède et s'abandonne à l'assaut. 
    Rien n'oblige et pourtant tout invite à se ressaisir, se repenser, se reconduire en gardant l'axe des repères fondamentaux de l'évolution et l'acheminement de la vie.
    Garder le cap sans dire  mot. Le trop pèse quand l'urgence se fait sentir. garder le cap et ressaisir la chance de pouvoir tester sa capacité à rester en vie quand souffle le vent du déracinement sur la planète du rêve et des désillusions.
    Croire en la vie, c'est chanter comme le vent et se camper comme les racines dans la terre fertile sans chercher à retenir ce qui s'envole, sans chercher à retenir ce qui s'étiole mais tout en glanant ce que le vent dans sa joie, dans son souffle cherche à offrir, à distribuer et semer à tout vent.


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  • La prière dessine ma vie avec les couleurs de mon coeur. Comme la frénésie de la lumière, chaque intension révèle l'espace du possible, la vérité de l'acceptable et le miroir du superflu. A chaque fois que mon coeur vole dans l'espace de Dieu, je demeure. Plus d'intention ni de demande, la vérité crée et anime l'essence de la Vie.

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  • Galeries




    Je cherche et je cours. Je cherche et je tourne comme la toupie que la main lance pour contempler la danse. Je ne vois ni ne crains le mal dans le corps. Je garde secrètes les blessures qui dessinent la fleur naissante. J'affirme et je proclame que le printemps sera beau et plein de promesses. C'est la Dame qui me l'a dit , c'est la Dame qui me la fait. Son Visage d'amour se dessine dans l'espace de mon miracle.

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